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1. Moi, je suis Je suis un peu lourd et drôle
2. La personne qui me connaît mieux, c’est mes amis et ma famille
3. Mon âge (ou Je me sens plutôt avoir… ans) : je 14 ans
4. La chose la plus importante dans ma vie c’est l'amitié
5. Je porte toujours sur/avec moi clés et porte-monnaie
6. Ce que je fais constamment : jouer au basket et regarder la télé
7. Je suis très heureux(se) quand quand mes amis et ma famille est heureuse
8. Le lundi matin, je suis fatigué 9. Mon moyen de transport préféré, c’est voiture
10. Mes yeux sont brun et vert
11. Mon objet préféré : console et la télévision
12. Pour me détendre, j´aime
13.La ville où je vis : Gelida
14. Une de mes mauvaises habitudes : nourriture
15. Mon péché mignon : pain
16. Une personne m’attire par le rire, la sympathie et l'amitié
17. Je pense que n être avec des amis , c’est merveilleux !
18. Je peux vivre sans lire
19. Je ne peux pas vivre sans télévision
20. Ma vie est rigolo
L'Insee s'est penché sur la consommation des Français entre 1960 et 2007, qui a été multipliée par trois sur cette période. En un peu moins de cinquante ans, les dépenses des ménages ont augmenté chaque année un peu plus, accompagnant une forte hausse du niveau de vie. Cependant, l'exploL'Insee s'est penché sur la consommation des Français entre 1960 et 2007, qui a été multipliée par trois sur cette période. En un peu moins de cinquante ans, les dépenses des ménages ont augmenté chaque année un peu plus, accompagnant une forte hausse du niveau de vie. Cependant, l'explosité chaque année un peu plus, accompagnant une forte hausse du niveau de vie. Cependant, l'explosion des dépenses s'accompagne d'un changement profond des comportements. Les Français dépensent nettement moins aujourd'hui pour se nourrir et beaucoup plus pour se loger.La période des Trente Glorieuses a connu une hausse des dépenses de 4,3 % par an. Le premier choc pétrolier a marqué un ralentissement, à 2,5 % par an. Seul coup d'arrêt : l'année 1993, marquée par une récession. Avec la crise actuelle, "on n'attend pas un recul de la consommation en France en 2009 mais un chiffre proche de la stagnation", explique Fabrice Langlard, chef du département des comptes nationaux de l'Insee. Car, précise-t-il, à l'inverse de 1993, les taux d'intérêt sont très bas et incitent à la consommation.Alimentation et habillement en baisse. Si l'alimentation représente toujours une importante part des dépenses des ménages, elle est passée de 38 % en 1960 à 25 % en 2007, souligne l'Insee. L'habillement b2007, souligne l'Insee. L'habillement baisse aussi de 14 % à 9 %. "Les écarts entre les ménages les plus aisés et les plus modestes se sont réduits mais restent importants en terme d'alimentation à domicile, avec une dépense moyenne de 230 euros par personne par mois pour les premiers contre 130 pour les plus modestes", explique Michel Duée, chef de la division conditions de vie des ménages de l'Institut national. Il confirme que "les plus aisés consomment plus de fruits, de légumes et de poissons, alors que les plus modestes plus de graisses et plus de sucres". L'étude montre que les plus pauvres consomment plus de tabac, sont moins sensibles que les plus aisés à l'augmentation des prix, alors que les plus riches consomment plus d'alcool.Logement en hausse. A l'inverse de l'alimentation, le poste logement a fortement progressé, passant de 16 % à 19 % au cours de la même période, comme les dépenses de transports (de 11 % à 18 %), de communications et de loisirs (de 10 % à 16 %). "En cinquante ans, les Français ont des logements de meilleure qualité et en moyenne un peu plus grands que leur parents. C'est valable pour à peu près toutes les classes de la population", dit Jean-Louis Lhéritier, chef du département des prix à la consommation. Mais pour les locataires, dont le niveau de vie est globalement moins élevé qu'il y a vingt ans, le coût pour se loger est encore plus lourd et représente 25 % de leur budget.Les dépenses de santé ont globalement augmenté, les ménages y consacrant 14 % en 2007 contre 5 % en 1960, la part remboursée ayant tendance à baisser.Spécificités dans l'Union européenne. Cette étude, croisée avec des chiffres relevés en 2005 pour les 26 autres pays européens, fait également apparaître une certaine convergence dans les modes de consommation, notamment l'alimentaire, liée à l'ouverture de l'espace européen et l'élévation du niveau de vie. Mais des spécificités, peut-être plus culturelles, persistent : "Les Italiens achètent par exemple plus de chaussures que leurs voisins français", relève Fabrice Langlard. "Les Britanniques dépensent plus dans les restaurants que pour se nourrir chez eux alors qu'en France on a plutôt tendance à privilégier la restauration à domicile qu'à l'extérieur", note aussi souligne Maryse Fesseau, responsable des comptes des ménages.